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Entre l’usine et les hôtels qui referment l’îlot, les nouveaux bâtiments recomposent la tête de pont. Confrontation de deux échelles, dialogue de deux architectures, le parti pris consiste à désigner, à révéler. Derrière le petit bâtiment de briques, un premier écran de verre, comme une cimaise, puis les autres bâtiments: l’architecture contemporaine s’affirme sans imposer la présence écrasante d’une opération de grande ampleur.

Parallèlement à la Seine, trois corps de bâtiments s’entrecroisent avec des volumes de briques prolongeant latéralement l’ancienne usine. Amorcé par la figure de l’usine, un maillage alternant bâtiments et jardins se déploie jusqu’à occuper ostensiblement la quasi totalité du site. Les corps de bâtiments successifs accompagnent la pente du terrain.

Pignons, soubassements ou fines lignes incrustées dans le verre: la brique, matériau essentiel du bâtiment conservé, se décline, assurant une lecture unitaire de l’ensemble. L’ensemble se construit dans le respect d’une architecture existante et affirme son appartenance à une époque contemporaine.